南京培训网 > 南京法语培训机构 > 南京新视线
首页 培训网 最新资讯 热门问答

南京新视线

免费试听 13182834526

您当前的位置: 资讯首页 > 法语培训资讯 > 南京法语专业培训学校

南京法语专业培训学校

来源:教育联展网    编辑:喜宝    发布时间:2018-07-09

南京法语专业培训学校

南京新视线教育


南京法语专业培训学校

南京新视线教育,一直专注于小语种课程的培训、研发和创新,服务于出国留学的建议咨询、方案设计!始终追求以优质的教学质量和服务标准,舒适的学习环境,打造业界中小语种教育品牌!成为中国具**性语言培训机构,南京具责任心教育品牌。

主营项目:法语培训、德语培训、西班牙语培训、韩语培训、日语培训、俄语培训、意大利语培训、泰语培训、阿拉伯语培训、土耳其语培训、越南语培训、粤语培训等众多小语种培训。

  温馨提示  

更多 [南京法语专业培训学校] 资讯、更多优惠活动! 请联系在线客服!! 


【企业课程】


南京法语专业培训学校

【一、需求分析】

首先,根据贵公司要求,我们的资深课程顾问会前往贵公司拜访,向贵公司了解需要培训员工的实际语言水平以及贵公司培训的预期目标,根据企业的行业特性及工作要求,为企业量身定制**适合贵企业及员工需求的个性化培训课程方案。据新视线教育培训学校多年的教学经验,为企业安排**科学的学时,设置**合理的课程,提供**专业的语言培训。

【二、测 试】

中文培训计划得到贵公司的确认后,我们的专业汉语培训师和课程顾问将为每一位需要参加企业中文培训的学习者做一次语言能力测试,由此判断他们的语言水平并根据不同的水平对他们进行分组。

【三、课程设计】

根据测试结果和客户的需要,我们的培训师将为您制定合适的课程及进度。 

【四、签订合同】

上述内容都得到客户的肯定后,我们将起草并签订培训合同,正式开始上课。

【五、服务跟踪】

上课过程中,我们的培训师将会定期对每个学员进行学习评估并向培训部反馈,培训部负责人将在征得客户同意的情况下不定期旁听课程以检查培训师的
上课
质量。同时,我们的课程顾问会和贵公司相关负责人以及学习者保持沟通,随时听取贵公司对课程的反馈。 

【六、超值服务】

自贵公司员工学习之日起,贵公司即成为 NewSight Club 的高级会员。贵公司员工可以随时参加NSClub举办的丰富多彩的课外活动。 

【七、结业证书 】

课程结束后,新视线教育会向贵公司出具学习证明和结业证书。

  温馨提示  

更多 [南京法语专业培训学校] 资讯、更多优惠活动! 请联系在线客服!! 


法语单项提升课程

南京法语专业培训学校


开班日期:定期循环开课

总 课 时 : 90课时

课程班型:VIP一对四小班授课

上课时间:全日制(周一到周五半天)周末班(周六日/半天)晚班(周一-周日晚),还可以依据学员不同情况,特殊安排!

适学对象:法语零基础的学员或搁置已久的学员,适合留学、移民、国外工作、考级类学员。

课程内容:依据法语听力,口语,阅读,写作,单独授课。针对性授课,从而提高学员的听说读写综合能力。


  温馨提示  

更多 [南京法语专业培训学校] 资讯、更多优惠活动! 请联系在线客服!! 


?
法语《茶花女》中法对照第4章(法语)
?


    导语:法语法语辅导。下面就随联展教育网联展教育网小编一起来学习一下吧O(∩_∩)O~~


为了您更好的学习法语课程,小编特编辑整理了法语学习法语学习相关资料,希望对您的法语学习有所帮助!

chapitre 4

Deux jours après, la vente était complétement terminée. Elle avait produit cent cinquante mille francs.

Les créanciers s en étaient partagé les deux tiers, et la famille, composée d une soeur et d un petit-neveu, avait hérité du reste.

Cette soeur avait ouvert de grands yeux quand l homme d affaires lui avait écrit qu elle héritait de cinquante mille francs.

Il y avait six ou sept ans que cette jeune fille n avait vu sa soeur, laquelle avait disparu un jour sans que l on s?t, ni par elle ni par d autres, le moindre détail sur sa vie depuis le moment de sa disparition.

Elle était donc arrivée en toute hate à Paris, et l étonnement de ceux qui connaissaient Marguerite avait été grand quand ils avaient vu que son unique héritière était une grosse et belle fille de campagne qui jusqu alors n avait jamais quitté son village.

Sa fortune se trouva faite d un seul coup, sans qu elle s?t même de quelle source lui venait cette fortune inespérée.

Elle retourna, m a-t-on dit depuis, à sa campagne, emportant de la mort de sa soeur une grande tristesse que compensait néanmoins le placement à quatre et demi qu elle venait de faire.

Toutes ces circonstances répétées dans Paris, la ville mère du scandale, commen?aient à être oubliées et j oubliais même à peu près en quoi j avais pris part à ces événements, quand un nouvel incident me fit conna?tre toute la vie de Marguerite et m apprit des détails si touchants, que l envie me prit d écrire cette histoire et que je l écris.

Depuis trois ou quatre jours l appartement, vide de tous ses meubles vendus, était à louer, quand on sonna un matin chez moi.

Mon domestique, ou plut?t mon portier qui me servait de domestique, alla ouvrir et me rapporta une carte, en me disant que la personne qui la lui avait remise désirait me parler.

Je jetai les yeux sur cette carte et j y lus ces deux mots :

Armand Duval.

Je cherchai où j avais déjà vu ce nom, et je me rappelai la première feuille du volume de Manon Lescaut.

Que pouvait me vouloir la personne qui avait donné ce livre à Marguerite ? Je dis de faire entrer tout de suite celui qui attendait.

Je vis alors un jeune homme blond, grand, pale, vêtu d un costume de voyage qu il semblait ne pas avoir quitté depuis quelques jours et ne s être même pas donné la peine de brosser en arrivant à Paris, car il était couvert de poussière.

M Duval, fortement ému, ne fit aucun effort pour cacher son émotion, et ce fut des larmes dans les yeux et un tremblement dans la voix qu il me dit :

-Monsieur, vous excuserez, je vous prie, ma visite et mon costume ; mais outre qu entre jeunes gens on ne se gêne pas beaucoup, je désirais tant vous voir aujourd hui, que je n ai pas même pris le temps de descendre à l h?tel où j ai envoyé mes malles et je suis accouru chez vous craignant encore, quoiqu il soit de bonne heure, de ne pas vous rencontrer.

Je priai M Duval de s asseoir auprès du feu, ce qu il fit tout en tirant de sa poche un mouchoir avec lequel il cacha un moment sa figure.

-Vous ne devez pas comprendre, reprit-il en soupirant tristement, ce que vous veut ce visiteur inconnu, à pareille heure, dans une pareille tenue et pleurant comme il le fait.

Je viens tout simplement, monsieur, vous demander un grand service.

-Parlez, monsieur, je suis tout à votre disposition ? -vous avez assisté à la vente de Marguerite Gautier ?

A ce mot, l émotion dont ce jeune homme avait triomphé un instant fut plus forte que lui, et il fut forcé de porter les mains à ses yeux.

-Je dois vous para?tre bien ridicule, ajouta-t-il, excusez-moi encore pour cela, et croyez que je n oublierai jamais la patience avec laquelle vous voulez bien m écouter.

-Monsieur, répliquai-je, si le service que je parais pouvoir vous rendre doit calmer un peu le chagrin que vous éprouvez, dites-moi vite à quoi je puis vous être bon, et vous trouverez en moi un homme heureux de vous obliger.

La douleur de M Duval était sympathique, et malgré moi j aurais voulu lui être agréable. Il me dit alors :

-Vous avez acheté quelque chose à la vente de Marguerite ?

-Oui, monsieur, un livre.

- Manon Lescaut ?

-Justement.

-Avez-vous encore ce livre ?

-Il est dans ma chambre à coucher.

Armand Duval, à cette nouvelle, parut soulagé d un grand poids et me remercia comme si j avais déjà commencé à lui rendre un service en gardant ce volume.

Je me levai alors, j allai dans ma chambre prendre le livre et je le lui remis.

-C est bien cela, fit-il en regardant la dédicace de la première page et en feuilletant, c est bien cela.

Et deux grosses larmes tombèrent sur les pages.

-Eh bien, monsieur, dit-il en relevant la tête sur moi, en n essayant même plus de me cacher qu il avait pleuré et qu il était près de pleurer encore, tenez-vous beaucoup à ce livre ?

-Pourquoi, monsieur ?

-Parce que je viens vous demander de me le céder. -pardonnez-moi ma curiosité, dis-je alors ; mais c est donc vous qui l avez donné à Marguerite Gautier ?

-C est moi-même.

-Ce livre est à vous, monsieur, reprenez-le, je suis heureux de pouvoir vous le rendre.

-Mais, reprit M Duval avec embarras, c est bien le moins que je vous en donne le prix que vous l avez payé.

-Permettez-moi de vous l offrir. Le prix d un seul volume dans une vente pareille est une bagatelle, et je ne me rappelle plus combien j ai payé celui-ci.

-Vous l avez payé cent francs.

-C est vrai, fis-je embarrassé à mon tour, comment le savez-vous ?

-C est bien simple, j espérais arriver à Paris à temps pour la vente de Marguerite, et je ne suis arrivé que ce matin. Je voulais absolument avoir un objet qui v?nt d elle et je courus chez le commissaire-priseur lui demander la permission de visiter la liste des objets vendus et des noms des acheteurs. Je vis que ce volume avait été acheté par vous, je me résolus à vous prier de me le céder, quoique le prix que vous y aviez mis me f?t craindre que vous n eussiez attaché vous-même un souvenir quelconque à la possession de ce volume.

En parlant ainsi, Armand paraissait évidemment craindre que je n eusse connu Marguerite comme lui l avait connue.

Je m empressai de le rassurer.

-Je n ai connu Mademoiselle Gautier que de vue, lui dis-je ; sa mort m a fait l impression que fait toujours sur un jeune homme la mort d une jolie femme qu il avait du plaisir à rencontrer. J ai voulu acheter quelque chose à sa vente et je me suis entêté à renchérir sur ce volume, je ne sais pourquoi, pour le plaisir de faire enrager un monsieur qui s acharnait dessus et semblait me défier de l avoir. Je vous le répète donc, monsieur, ce livre est à votre disposition et je vous prie de nouveau de l accepter pour que vous ne le teniez pas de moi comme je le tiens d un commissaire-priseur, et pour qu il soit entre nous l engagement d une connaissance plus longue et de relations plus intimes.

-C est bien, monsieur, me dit Armand en me tendant la main et en serrant la mienne, j accepte et je vous serai reconnaissant toute ma vie.

J avais bien envie de questionner Armand sur Marguerite, car la dédicace du livre, le voyage du jeune homme, son désir de posséder ce volume piquaient ma curiosité ; mais je craignais en questionnant mon visiteur de para?tre n avoir refusé son argent que pour avoir le droit de me mêler de ses affaires.

On e?t dit qu il devinait mon désir, car il me dit :

-Vous avez lu ce volume ?

-En entier.

-Qu avez-vous pensé des deux lignes que j ai écrites ?

-J ai compris tout de suite qu à vos yeux la pauvre fille à qui vous aviez donné ce volume sortait de la catégorie ordinaire, car je ne voulais pas ne voir dans ces lignes qu un compliment banal.

-Et vous aviez raison, monsieur. Cette fille était un ange. Tenez, me dit-il, lisez cette lettre. Et il me tendit un papier qui paraissait avoir été relu bien des fois.

Je l ouvris, voici ce qu il contenait :

" Mon cher Armand, j ai re?u votre lettre, vous êtes resté bon et j en remercie Dieu. Oui, mon ami, je suis malade, et d une de ces maladies qui ne pardonnent pas ; mais l intérêt que vous voulez bien prendre encore à moi diminue beaucoup ce que je souffre. Je ne vivrai sans doute pas assez longtemps pour avoir le bonheur de serrer la main qui a écrit la bonne lettre que je viens de recevoir et dont les paroles me guériraient, si quelque chose pouvait me guérir. Je ne vous verrai pas, car je suis tout près de la mort, et des centaines de lieues vous séparent de moi. Pauvre ami ! Votre Marguerite d autrefois est bien changée, et il vaut peut-être mieux que vous ne la revoyiez plus que de la voir telle qu elle est. Vous me demandez si je vous pardonne ; oh ! De grand coeur, ami, car le mal que vous avez voulu me faire n était qu une preuve de l amour que vous aviez pour moi. Il y a un mois que je suis au lit, et je tiens tant à votre estime que chaque jour j écris le journal de ma vie, depuis le moment où nous nous sommes quittés jusqu au moment où je n aurai plus la force d écrire. " si l intérêt que vous prenez à moi est réel, Armand, à votre retour, allez chez Julie Duprat. Elle vous remettra ce journal. Vous y trouverez la raison et l excuse de ce qui s est passé entre nous. Julie est bien bonne pour moi ; nous causons souvent de vous ensemble. Elle était là quand votre lettre est arrivée, nous avons pleuré en la lisant. " dans le cas où vous ne m auriez pas donné de vos nouvelles, elle était chargée de vous remettre ces papiers à votre arrivée en France. Ne m en soyez pas reconnaissant. Ce retour quotidien sur les seuls moments heureux de ma vie me fait un bien énorme, et si vous devez trouver dans cette lecture l excuse du passé, j y trouve, moi, un continuel soulagement.

" Je voudrais vous laisser quelque chose qui me rappelat toujours à votre esprit, mais tout est saisi chez moi, et rien ne m appartient.

"Comprenez-vous, mon ami ? Je vais mourir, et de ma chambre à coucher j entends marcher dans le salon le gardien que mes créanciers ont mis là pour qu on n emporte rien et qu il ne me reste rien dans le cas où je ne mourrais pas. Il faut espérer qu ils attendront la fin pour vendre.

"Oh ! Les hommes sont impitoyables ! Ou plut?t, je me trompe, c est Dieu qui est juste et inflexible. "eh bien, cher aimé, vous viendrez à ma vente, et vous achèterez quelque chose, car si je mettais de c?té le moindre objet pour vous et qu on l appr?t, on serait capable de vous attaquer en détournement d objets saisis.

" Triste vie que celle que je quitte !

" Que Dieu serait bon, s il permettait que je vous revisse avant de mourir ! Selon toutes probabilités, adieu, mon ami ; pardonnez-moi si je ne vous en écris pas plus long, mais ceux qui disent qu ils me guériront m épuisent de saignées, et ma main se refuse à écrire davantage.

" Marguerite Gautier. "

En effet, les derniers mots étaient à peine lisibles. Je rendis cette lettre à Armand qui venait de la relire sans doute dans sa pensée comme moi je l avais lue sur le papier, car il me dit en la reprenant : -qui croirait jamais que c est une fille entretenue qui a écrit cela ! Et tout ému de ses souvenirs, il considéra quelque temps l écriture de cette lettre qu il finit par porter à ses lèvres.

-Et quand je pense, reprit-il, que celle-ci est morte sans que j aie pu la revoir et que je ne la reverrai jamais ; quand je pense qu elle a fait pour moi ce qu une soeur n e?t pas fait, je ne me pardonne pas de l avoir laissée mourir ainsi. Morte ! Morte ! En pensant à moi, en écrivant et en disant mon nom, pauvre chère Marguerite !

Et Armand, donnant un libre cours à ses pensées et à ses larmes, me tendait la main et continuait : -on me trouverait bien enfant, si l on me voyait me lamenter ainsi sur une pareille morte ; c est que l on ne saurait pas ce que je lui ai fait souffrir à cette femme, combien j ai été cruel, combien elle a été bonne et résignée. Je croyais qu il m appartenait de lui pardonner, et aujourd hui, je me trouve indigne du pardon qu elle m accorde. Oh ! Je donnerais dix ans de ma vie pour pleurer une heure à ses pieds.

Il est toujours difficile de consoler une douleur que l on ne conna?t pas, et cependant j étais pris d une si vive sympathie pour ce jeune homme, il me faisait avec tant de franchise le confident de son chagrin, que je crus que ma parole ne lui serait pas indifférente, et je lui dis : -n avez-vous pas des parents, des amis ? Espérez, voyez-les, et ils vous consoleront, car moi je ne puis que vous plaindre.

-C est juste, dit-il en se levant et en se promenant à grands pas dans ma chambre, je vous ennuie. Excusez-moi, je ne réfléchissais pas que ma douleur doit vous importer peu, et que je vous importune d une chose qui ne peut et ne doit vous intéresser en rien.

-Vous vous trompez au sens de mes paroles, je suis tout à votre service ; seulement je regrette mon insuffisance à calmer votre chagrin. Si ma société et celle de mes amis peuvent vous distraire, si enfin vous avez besoin de moi en quoi que ce soit, je veux que vous sachiez bien tout le plaisir que j aurai à vous être agréable. -pardon, pardon, me dit-il, la douleur exagère les sensations. Laissez-moi rester quelques minutes encore, le temps de m essuyer les yeux, pour que les badauds de la rue ne regardent pas comme une curiosité ce grand gar?on qui pleure. Vous venez de me rendre bien heureux en me donnant ce livre ; je ne saurai jamais comment reconna?tre ce que je vous dois.

-En m accordant un peu de votre amitié, dis-je à Armand, et en me disant la cause de votre chagrin. On se console en racontant ce qu on souffre.

-Vous avez raison ; mais aujourd hui j ai trop besoin de pleurer, et je ne vous dirais que des paroles sans suite. Un jour, je vous ferai part de cette histoire, et vous verrez si j ai raison de regretter la pauvre fille. Et maintenant, ajouta-t-il en se frottant une dernière fois les yeux et en se regardant dans la glace, dites-moi que vous ne me trouvez pas trop niais, et permettez-moi de revenir vous voir.

Le regard de ce jeune homme était bon et doux ; je fus au moment de l embrasser.

Quant à lui, ses yeux commen?aient de nouveau à se voiler de larmes ; il vit que je m en apercevais, et il détourna son regard de moi.

-Voyons, lui dis-je, du courage.

-Adieu, me dit-il alors.

Et faisant un effort inou? pour ne pas pleurer, il se sauva de chez moi plut?t qu il n en sortit. Je soulevai le rideau de ma fenêtre, et je le vis remonter dans le cabriolet qui l attendait à la porte ; mais à peine y était-il qu il fondit en larmes et cacha son visage dans son mouchoir.

上一篇:南京一对一法语培训 下一篇:南京法语写作培训机构
南京法语

免费体验课开班倒计时

11: 41: 09

稍后会有专业老师给您回电,请保持电话畅通

咨询电话:13182834526

校区导航

1个校区

南京新视线小语种教育
推荐机构 全国分站 更多课程

今日已有25人申请,本月限额500

申请试听名额

已有10254人申请免费试听

01电话咨询 | 13182834526

QQ:3037977752
加盟合作:0755-83654572